أنا ما أخفيت
عن الناس حبك بين
أعقاب سجائري المتناثرة...
ما كتمت
عن الناس حبك
تحت عباءتي
أو كُبّة لحيةّ شَعثاءَ ماكرة...
ما أطفأت
نار حبك بكؤوس النبيذ
الحارقة الفائرة...
ما مثلتُ دورَ
الإمام والفقيه
في أسمال جبة ورَعٍ غادرة.
لكنني أعلنت
حبك كما شاءت
أحلامي المحلقة النافرة..
فكوني كما أراك أميرة وفراشَةَ
حول نار حروفي راقصة طائرة..
كوني ثائرة
في وجه المخنثين من دُمى الرجال،
والمزركشين كالصور المنثورَة
على الجدران.
كوني دوما غاضبة مزمجرة ثائرة.
حتى أكتب فيكِ جنون قصائدي
بحبرِ عيونك الساحرة.
فأجمل الحب
ما كان ثورة على
الفقيه
والإمام
والنخاس
وتجار الأحلام الكاذبة
والدَّجَّالين
وكل الشعوب والقبائل المتناحرة.
بقلم :عزوز العيساوي
ترجمة : محمد علوي امحمدي
Je n'ai pas caché
Aux gens mon amour pour toi
Parmi les mégots éparpillés de mes cigarettes
Je n'ai pas caché ton amour aux gens
Sous les plis de mon manteau
Ou une toison d'une barbe hirsute et perfide
Je n'ai pas éteint la flamme de ton amour
Avec des verres d'un vin brûlant et torride.
Je n'ai pas joué le rôle
D' imam ou théologien
Drapé dans une jellaba d'une piété traîtresse.
Mais j'ai déclaré à pleins poumons
Ton amour selon mes rêves et leur désir
Mes rêves qui s'envolent
Très haut dans le firmament.
Sois comme je te vois
Une princesse, un papillon
Qui virevolte autour du feu de mes lettres,
une ballerine gracieuse
Souffle ta colère
Face aux machos et misogynes
Les mannequins qui ornent
Les murs et les vitrines.
Sois toujours en colère
Sois une lionne rugissante
Une femme en révolte
Pour que j'écrive en ton nom
La folie de mes poèmes
Avec l'encre de tes yeux magiques
Et
( Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras)
Le plus bel amour
Est celui qui est
Une révolution à l'encontre
Du fquih
De l'imam
E du négrier
Et des dealers des rêves mensongers
et des charlatans de tous bords
Et de tous les peuples et tribus en guerre
Je n'ai pas caché
Aux gens mon amour pour toi
Parmi les mégots éparpillés de mes cigarettes
Je n'ai pas caché ton amour aux gens
Sous les plis de mon manteau
Ou une toison d'une barbe hirsute et perfide
Je n'ai pas éteint la flamme de ton amour
Avec des verres d'un vin brûlant et torride.
Je n'ai pas joué le rôle
D' imam ou théologien
Drapé dans une jellaba d'une piété traîtresse.
Mais j'ai déclaré à pleins poumons
Ton amour selon mes rêves et leur désir
Mes rêves qui s'envolent
Très haut dans le firmament.
Sois comme je te vois
Une princesse, un papillon
Qui virevolte autour du feu de mes lettres,
une ballerine gracieuse
Souffle ta colère
Face aux machos et misogynes
Les mannequins qui ornent
Les murs et les vitrines.
Sois toujours en colère
Sois une lionne rugissante
Une femme en révolte
Pour que j'écrive en ton nom
La folie de mes poèmes
Avec l'encre de tes yeux magiques
Et
( Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras)
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